samedi 3 juillet 2010

chantiers internationaux ETE 2010






C'est ce dimanche que le 1er groupe d'adhérents de l'association culturelle pour le développement et l'épanouissement de la jeunesse algérienne (ACDEJA) ralliera la Tunisie pour participer aux différents chantiers d'été
(Ben Arous,Gabes,Kef,Mehdia,Bizerte;Hammamet et Kairouan.) le 2ème groupe c'est à partir du 19 juillet.

ASSOCIATION TUNISIENNE D’ACTION
VOLONTAIRE
(A.T.A.V)

l’Association Tunisienne d’Action Volontaire (A.T.A.V) est une
association d’utilité publique à but non lucratif qui œuvre à sensibiliser et à faire
participer les citoyens et, plus particulièrement les jeunes au processus de
développement communautaire et solidaire sur la base du volontariat.
L’A.T.A.V qui est membre de l’Union Tunisienne des Organisations de
Jeunesse (U.T.O.J), milite aussi au sein de l’Union Maghrébine des Associations
de Volontariat (U.M.A.V) dont elle est membre fondateur. A l’échelle
internationale, l’A.T.A.V fait partie de plusieurs réseaux d’associations
performants et elle est membre à plein droit au Comité de Coordination du Service Volontaire International (C.C.S.V.I).

jeudi 1 juillet 2010

Tahar Djaout : Une fondation et un prix du journalisme en perspective






Les journées d’étude et de témoignages dédiées à la mémoire de l’écrivain journaliste, Tahar Djaout, assassiné le 26 mai 1993 à Alger, ont été clôturées jeudi en fin de journée à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou.


Cette rencontre organisée par l’association Tussna en collaboration avec l’établissement a été une réussite, ont estimé les organisateurs. Les conférenciers, des personnalités connues du monde de la littérature et de la presse, tels que Djillali Khellas, Abdelkrim Djaâd, Outoudert Abrous, directeur de Liberté, et Omar Belhouchet, directeur d’El Watan, ont présenté des exposés sur la vie et l’œuvre de Djaout. Lors de la dernière partie du programme, MM. Abrous et Belhouchet ainsi que Nadia, la fille aînée de Djaout, ont animé une rencontre-débat qui a duré plus de deux heures. Moments émouvants, au cours desquels Abrous Outoudert a éclaté en sanglots alors qu’il évoquait ses souvenirs avec Tahar Djaout. Des moments aussi de mémoire et de ressourcement dans les idéaux de Djaout. Omar Belhouchet dira : « Tahar restera une valeur poétique et journalistique d’importance, dans un pays qui perd tous ses repères, qui est gangrené par la corruption, l’islamisme est toujours là, le pouvoir est toujours autoritaire.

Mais la famille qui avance, pour laquelle il est mort, est toujours là également. Nous sommes déterminés à poursuivre l’esprit professionnel qui l’animait, faire du journalisme de qualité, dire ce qui ne va pas, narrer la réalité. » Une ligne éditoriale qu’El Watan a chèrement payée par des suspensions, des emprisonnements et des harcèlements judiciaires. De son côté, Abrous Outoudert qui a connu Tahar Djaout au lycée et plus tard à l’ex-Société nationale d’édition et de diffusion (SNED), où il était membre de la commission de lecture, ajoutant que la Fondation Djaout est gelée depuis sa création à cause « d’interférences ». « Je réitère ma disponibilité et celle de mon ami Omar Belhouchet à assister la famille de Tahar Djaout à relancer cette fondation. L’idée de création d’un prix Tahar Djaout du journalisme est à retenir et nous sommes d’ores et déjà partants pour accompagner cette idée », dira encore M. Outoudert. Nadia Djaout a déclaré à El Watan qu’elle allait discuter avec sa famille du projet de fondation. La création d’un prix Djaout verra probablement le jour à l’occasion du 18e anniversaire de la disparition de l’auteur des Vigiles. Les responsables de Tussna y pensent déjà, a annoncé Ziad Lefgoum, président de l’association.


Par Saïd Gada

mardi 29 juin 2010

bienvenus au Parc d’Attraction et Loisirs THAMAGHRA







Vous voulez vous détendre, vous divertir et vous relaxer ? Vous cherchez à vous retaper après une longue semaine de travail, de pression et de stress ? Alors plus d’hésitations, le parc d’attractions et loisirs THAMAGHRA est la pour vous offrir ce que vous cherchez et pour répondre a tous vos désirs.

THAMAGHRA vous promet détente et relaxation grâce a ses :
• salles de sport
• Piscines Extérieures équipées de Toboggans Aquatiques
• Piscine couverte (cadre exceptionnel)
• Patinoire Synthétique
• Salles de Cardio Training, Musculation et Aérobic.
• Salles de Massage, Jacuzzi, Hammam et Sauna.
• Salon de Coiffure et Esthétique.
• Espace Informatique, Internet.
• Chambres Studios équipées (kitchenette, clim, télé, douches)
• Manèges pour Enfants (chaise volante, auto tamponneuses, mini roue, mini avion, auto scooter…)
• Salle de jeux (Billard, Baby Foot, Tennis de table, Jeux Electroniques).
• Restaurants, Self sérvice,Pizzeria,Cafétéria.,
• Ouverture prochaine d’un centre commercial (grande surface)
A tout cela, s’ajoute un magnifique Chapiteau (Kheima) pour toutes vos Fêtes, Cérémonies, Spectacles, Conférences et Séminaires.

Un Parking Auto couvert et Sécurisé vous procurera toute la quiétude que vous souhaitez.

Avec le Parc d’Attraction et Loisirs THAMAGHRA, c’est le Plaisir Partagé et le Loisir Assuré.

vendredi 25 juin 2010

Renforcement des capacités de la société civile et de la mise en réseau des associations algériennes






Dans le cadre du projet financé par l’Agence Espagnole de Coopération pour le Développement (AECID), ‘Renforcement des capacités de la société civile et de la mise en réseau des associations algériennes’, l’association culturelle Amusnaw et son partenaire Solidaridad Internacional ont organisé, ‘une rencontre sur le tourisme solidaire’, destinée aux associations qui font partie du réseau ‘tourisme solidaire en Kabylie’, et à celles qui veulent initier dans le futur des activités touristiques s’inscrivant dans la lignée du commerce équitable.

La rencontre a eu lieu : Le mercredi 23 et jeudi 24 juin 2010 au niveau du siège
Sise : Association ACDEJA, centre d'apprentissage interculturel des associations, avenue du 1er novembre, Aïn El Hammam

dimanche 21 mars 2010

Meeting of Community Service Volunteers











Youth in Action Programme , Municipality of Pendik , ISTANBUL, TURKEY
5-6 March 2010

Participants in the APV were:
1. Mohand Tadjadit – Algeria
2. Nikola Chitamov–Bulgaria
3. Gela Gogitioze – Georgia
4. Zuleyha Can–Germany
5. Fatos Vishi–Kosovo
6. Sumeyra Direk–Turkey

Trainer
Ayse Ses Saatc...ioglu–Turkey

Facilitator:
Zekeriya Eksi–Pendik Municipality Library Directorate

Support Staff:
Nazif Karakas–Pendik Municipality EU Project Assistant
Sadik Kilic - Pendik Municipality EU Project Assistant

Observers:
Izzet Oztop – Pendik Municipality Strategy Development Department Director
Kenan Guler - Pendik Municipality Culture Department Vice Director
Hüseyin Eksi – Pendik Municipality Youth Council

La 4ème édition de la Journée de l’Arbre






La 4ème édition de la Journée de l’Arbre s'est tenue ce dimanche 21 mars au centre d'apprentissage interculturel des associations de l'association ACDEJA, rehaussé par la présence de l’artiste peintre AZAL BELKADI
Beaucoup d’élèves ont répondu à l’appel lancé par l’association.
Comme chaque année l’ACDEJA distribue gratuitement des semis d’arbres de différentes espèces à travers des établissements scolaire.
Nombreuses animations : dessins, projections, dégustations …
Durant la journée AZAL a animé un atelier d’arts plastique avec les enfants de l’ex Michelet.
C'est avec beaucoup de plaisir que les élèves ont pu reproduire quelques dessins sous l’œil vigilant d’AZAL.
La manifestation qui s’est inscrite au fil du temps dans le calendrier local des animations de l’association.
«Chaque année nous avons de plus en plus de demandes. Les gens appellent pour participer».
Découvrez quelques photos de cet événement. Nous vous fixons d’ores et déjà rendez-vous l’année prochaine.
MOHAND TADJADIT

lundi 15 février 2010

un arbre une maison






Plusieurs centaines de plants de différentes espèces offerts par la direction des forets d'AZAZGA ont été planté à travers les établissements scolaires et des cités de la région est ce pour la 4ème année consécutive. L’association culturelle pour le développement et l'épanouissement de la jeunesse algérienne AIN EL HAMMAM (ex Michelet) fêtera la journée mondiale de l’arbre projet intitulé « un arbre une maison ». Au programme figurerai une exposition de dessins au niveau du centre de l'association qui vont être réalisée par les élèves du primaire afin de donner un caractère éducatif. Certains dessins figureront sur la maquette prévue pour le 21 mars prochain.

formation des associations






Apprentissage interculturel

L’expérience montre qu’il est difficile d’atteindre les jeunes issus de milieux défavorisés pour les amener dans les rencontres. L’association et les 25 stagiaires d’associations participantes à la formation sur l’apprentissage interculturel qui s’est déroulé au centre d’apprentissage interculturel des associations du 13 au 16 janvier 2010 se sont posé depuis longtemps la question de savoir comment impliquer davantage ces jeunes dans les échanges. C’est la raison pour laquelle notre association a mis sur pied un atelier de formation destiné à des jeunes issus eux-mêmes de milieux associatifs défavorisés pour leur donner une formation sur l’apprentissage interculturel.
Le problème de l’identité culturelle a été soulevé durant cette formation d’où l’utilité de démarrer nos travaux d’atelier en commençant par cerner certaines définitions et encadrer certains principes qui seront des bases pour notre travail durant tout le séjour.
L'identité culturelle n'est pas une chose avec laquelle vous êtes né, mais elle vous est délibérément transmise par votre famille et la société. L'identité est culturelle construite par de nombreux facteurs différents. Dans chaque pays, la mémoire collective de la population est influencée par la façon d'enseigner l'histoire nationale dans les écoles, ainsi que par les événements qui sont mis en valeur et commémorés lors des jours fériés.

Le chef de projet :

Mohand TADJADIT

lundi 4 janvier 2010

Les écologistes au chevet d’un sombre Djurdjura


Les écologistes au chevet d’un sombre Djurdjura

La montagne du Djurdjura est l’un des symboles naturels de l’identité amazighe des peuples de la région nord-africaine et un référent constant du combat pour le recouvrement de cette quête du soi à travers des siècles d’existence inaliénable. Elle sera peut-être avec la langue amazighe dans ses variantes régionales l’un des ultimes témoignages vivants de cette identité millénaire face aux conséquences des assauts passés et actuels contre ses composants historiques et archéologiques, linguistiques et sociologiques. Le Djurdjura (Jerjer en kabyle) est aussi l’un des écosystèmes essentiels à la survie des constituants de la biodiversité locale. Cependant, les menaces sur son équilibre sont multiples et d’origines diverses. Des menaces à prendre très au sérieux, selon ses défenseurs qui, à chaque occasion de la Journée mondiale de la montagne (11 décembre) ou de tout autre événement en rapport avec la protection de l’environnement, rappellent à la population et aux autorités les dangers qui la guettent tous les jours. Les feux de forêt sont devenus, ces derniers mois, les pires ennemis ravageurs de la faune et de la flore du Djurdjura dont des milliers de cèdres millénaires ont été détruits fin de l’été 2009 par ce procédé criminel sous des prétextes fallacieux. La coupe déréglementée et vorace d’arbres est l’autre risque pour les espèces animales et végétales qui peuplent depuis des siècles le repère éternel des Kabyles.
C’est parce que l’Etat s’occupe peu ou mal justement de ces aires pourtant protégées par des lois et conventions internationales que des bénévoles activant dans des associations ont pris sur eux la responsabilité de défendre ces territoires antiques pleins d’enseignements multiples et de beautés pures et rares même si les moyens matériels et humains dont a besoin une telle mission dépassent même ce que pourraient imaginer ces jeunes animateurs associatifs déguisés en militants écologiques malgré eux. La dernière action en date de ce genre revient à l’association culturelle Tafat (lumière) de Semmache, wilaya de Bouira, qui a lancé fin juillet dernier une opération «Tikjda propre» qui visait à effacer les images hideuses de déchets divers frappant le visiteur ou le touriste sur la RN 33 désirant se rendre à Akouber, une magnifique station de montagne perchée à près de 1 500 mètres d’altitude. Réputée pour ses bienfaits sur la santé et prisée par les riverains et la population en général, le site donnait l’image d’un endroit perdu et abandonné à la merci de passagers indélicats et indisciplinés. Au lieu de commodités aménagées de détente, c’est plutôt les canettes de bière, les sachets en plastique et les bouteilles en verre et en plastique qui salissent l’environnement et rendent désagréable toute visite des lieux autrefois purs et accueillants. L’action qui a duré plusieurs jours a été organisée avec le soutien de la direction du tourisme de la wilaya de Bouira et en collaboration avec l’APC de Lesnam pourrait servir de meilleur exemple aux autres collectivités qui recèlent de tels sites naturels protégés sur leur territoire.
C’est aussi parce que la Kabylie est sale que l’association à but non lucratif «Kabylie propre» basée à Montreuil en France et dirigée par l’animateur de la Radio-Pays (93.1 FM) et journaliste reporter Lamara Hamid vient d’entreprendre une initiative du même acabit.
Elle compte, en effet, dans ce sens organiser au printemps 2010 une «gigantesque» opération de volontariat qui touchera toute la région de Kabylie, regroupant plusieurs wilayas. Début septembre dernier, une émission spéciale de trois heures sur l’écologie en Kabylie a été organisée sur les ondes de Radio-Pays afin de faire prendre conscience à la population des dangers nés des saletés déversées quotidiennement dans les quatre coins de la Kabylie, selon l’auteur de l’idée. «L’opération Kabylie propre est née par la volonté de quelques citoyens désireux de protéger, d’informer et de sensibiliser les Kabyles du danger qu’encourt cette belle région. Dès lors, l’équipe s’est mise au travail en répertoriant plus d’une cinquantaine d’associations écologistes en Kabylie et deux cents communes (APC) qui, malgré le peu de moyens mis à leur disposition, sont prêtes à nous aider dans cette aventure», diront les animateurs de l’association. En France, les réseaux radiophoniques (radios locales de France) ainsi que plusieurs associations berbères se sont engagés à diffuser cette information auprès de notre diaspora. Les membres de l’association ont aussi pris contact avec d’autres associations dans le monde : Canada, Suisse, Belgique, etc., nous déclare à ce sujet Hamid Lamara, initiateur du projet. «La première opération de Kabylie propre est la vente d’un autocollant au prix de 2 euros qui servira de coup de pouce aux associations en Kabylie ; l’opération sera reproduite dans plusieurs manifestations qui se produisent en France et ailleurs et l’autocollant pourrait être commandé directement par le biais de l’e-mail de l’association Kabyliepropre@hotmail.fr», précisera-t-il. «Notre premier objectif est de vendre cent mille autocollants, l’équivalent de 140 000 euros qui seront remis à des associations écologistes en Kabylie», projette-t-il. Seront déduits de la somme globale des ventes les frais de la fabrication de l’autocollant et ceux postaux et administratifs. M. Lamara insiste sur la transparence de l’opération en laissant les livres comptables ouverts à tous les acheteurs. Pour ce faire, plusieurs réunions d’information à travers la France ont été tenues ces dernières semaines et une visite à travers des dizaines de communes de Kabylie pour rencontrer les associations écologistes s’est effectuée durant la deuxième moitié du mois de décembre dernier, allant vers des maires et des enseignants ainsi que d’éventuels sponsors dont le contact se limitait jusque-là aux échanges de propositions par téléphone et sur le Net. La dernière semaine de décembre a été consacrée aux réunions avec l’ensemble des intéressés à
Tizi Ouzou, Béjaïa et Bouira pour décider ensemble de la journée de ramassage collectif des déchets et concrétiser la remise des premiers fonds récoltés à des associations écologistes de Kabylie. Une première réunion a eu lieu le jeudi 24 décembre dernier à 10 heures au siège de l’Association pour la jeunesse innovatrice et l’environnement (AJIE) sis 7, rue colonel Amirouche à Tizi Ouzou en présence d’une dizaine d’associations d’horizons divers et des différentes communes de la wilaya de Tizi Ouzou. Le surlendemain samedi, c’est au tour de la wilaya de Béjaïa d’accueillir une réunion dans la perspective de l’action de Kabylie propre. «Nous avons seulement tenu une réunion préliminaire à Béjaïa avec le peu d’associations qu’on a pu contacter sur place ; ces dernières ont leurs réseaux et ont manifesté leur enthousiasme à l’idée d’organiser un volontariat au printemps prochain, c’est très encourageant !» dira M. Lamara dont l’association tiendra un autre cycle de rencontres durant les semaines à venir ici en Kabylie et en Europe.

L. S.

L’ACDEJA : la culture locale et la solidarité internationale en interaction







La formation de la jeunesse au centre de ses préoccupations
L’ACDEJA : la culture locale et la solidarité internationale en interaction


L'Association culturelle pour le développement et l’épanouissement de la jeunesse algérienne (ACDEJA), qui vise au «renforcement de l’amitié à travers le monde par des échanges culturels et un code moral basé sur une approche humaniste et pacifiste», a un programme étalé sur plusieurs années pour l’encadrement et la formation des jeunes afin de leur permettre une prise en charge de leur destin et de mieux concevoir leur avenir parce que «dans notre pays la résistance à l’inculture est une preuve supplémentaire d’une jeunesse farouchement déterminée à sortir de l’impasse», écrivent les membres fondateurs de l’association qui font de «que vivent la jeunesse, l’amitié, et la solidarité» leur credo.Des expositions, des chantiers culturels, des séminaires, des conférences des rencontres débats sur les fléaux sociaux, des sorties à travers l’Europe (France, Portugal, Espagne, Italie Tunisie…) sont parmi les actions que choisit l’ACDEJA pour faire aboutir ses projets, selon Mohand Tadjadit, responsable de l’association.Aussi, l’ACDEJA dispose d’un Centre d’apprentissage interculturel des associations, situé au cœur de la ville de Aïn El Hamam (ex-Michelet, à 70 kilomètres au nord-est de Tizi Ouzou). Le centre, qui propose plein d’informations sur la jeunesse, est doté de moyens multimédias.Il a pour mission l’accueil et la formation des jeunes dans différents domaines comme l’enseignement, les métiers, l’emploi, la vie pratique, les vacances, les loisirs, etc. Il aide aussi à la réalisation de curriculum vitae, de lettres, de projets individuels et collectifs (formation en théâtre et en secourisme par exemple)... et organise des ateliers de formation et d’information collectifs, des débats entre jeunes et professionnels sur des sujets comme les échanges internationaux, la santé, l’environnement, la prévention routière et les droits de l’homme. Le centre participe d’autre part aux journées nationales et internationales de fêtes et aux journées commémoratives, organise des forums et met à la disposition des adhérents une documentation variée : des livres, des journaux, des documents divers à consulter sur place et donne accès aux technologies de communication et d’information les plus modernes, selon Mohand Tadjadit.